Parcs

Louis Coutu
On vient s’en mettre plein les poumons et plein les bottes

L’espace avec un grand E

Il y a l’amour avec un grand A et l’espace avec un grand E. Sur la carte de Lanaudière, il n’en faudrait pas beaucoup plus pour que nos parcs occupent tout l’espace. D’est en ouest, du nord au sud, il s’en trouve toujours un pour venir titiller l’envie de bouger ou de simplement regarder. Peu importe la saison et le bout de lorgnette par lequel on les observe, sportifs et contemplatifs y trouvent leur compte en foulant à pieds joints un territoire qui ne demande qu’à s’abandonner.

Pimbina, quand tu nous tiens!

Ce n’est pas un cri de rassemblement. Pimbina, c’est le nom de la zone du parc national du Mont-Tremblant qui vient déposer les deux tiers de ses montagnes célestes du côté de Lanaudière. Qu’on y accède par Saint-Côme ou qu’on entre par Saint-Donat, le terrain de jeu offre un potentiel incroyable et un décor de carte postale. L’été, on vient y randonner les grands espaces et canoter ses rivières tandis que l’hiver, les amoureux de ski de fond et de raquette en font leur meilleure adresse. Peu importe la saison, on craque pour la vie de chalet, les pieds posés sur la cheminée avant de s’endormir dans les bras de Morphée.

Deux personnes regardant un chute
Couple prenant un pause près d'un ruisseau

Des parcs régionaux d’un naturel désarmant

Des lacs, des chutes, des cascades… voilà la matière première qui fait de nos parcs régionaux des endroits de rêve pour observer la nature au plus près. Été comme hiver, on file sur les sentiers du parc régional des Sept-Chutes de Saint-Zénon ou celui de la Chute-à-Bull dont les pistes filent jusqu’au village de Saint-Côme. Les plus téméraires optent pour la randonnée à pied, en raquette ou en ski de fond sur le Sentier national traversant la région sur 170 km pendant que d’autres lui préfèrent les 120 km de sentiers de la Forêt Ouareau. Ajoutez-y le parc des Chutes Monte-à-Peine-et-des-Dalles ou le parc régional des Chutes du Calvaire, chose certaine, les amateurs de nature sauvage vont adorer. On y dort en refuge pour prolonger le plaisir.

En savoir plus
3 raquetteurs avec vue sur le lac Rémy
Refuge du belvédère parc régional de la Chute-à-Bull

On reste à coucher

Quoi de mieux que de se réveiller dans un décor de rêve après une nuit de rêve à écouter le silence de nos forêts? La majorité des parcs de Lanaudière offrent en toute saison des possibilités d’hébergement allant du refuge en forêt au chalet de luxe. L’été, on ajoute à ça le camping sauvage, le prêt-à-camper et le glamping pour un véritable happening. Qu’on soit seul, à deux ou en famille, les parcs de Lanaudière ont ce qu’il faut pour y dormir sur ses deux oreilles.

2 personnes en camping

Parcs urbains

Nos parcs urbains ont des airs de campagne en ville. Du côté du parc de la Rivière de Terrebonne, on ira, l’été, canoter la rivière des Mille Îles, grimper au sommet de la tour d’observation et observer les oiseaux. L’hiver, direction parc du Grand-Coteau pour sa patinoire sur l’étang, ses sentiers de raquettes et de ski de fond et ses randonnées aux flambeaux. Du côté de Repentigny, les sentiers du Parc-plage Saint-Laurent filent rejoindre ceux du parc de l’Île-Lebel sur trois kilomètres à parcourir à pied, à vélo, en raquette ou en ski de fond. On ne rate surtout pas la visite des Îles de Berthier. Été comme hiver, à vélo ou raquette aux pieds, l’endroit est paradisiaque.

Kayak sur la rivière des Milles-Îles
Pourvoiries
Des cannes de pêche au bord du lac à la Pourvoirie St-Zénon
Auberge du Lac Taureau Saint-Michel-des-Saints

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